Comment faire tenir ensemble ce qui se voit, se dit, se dessine, des volumes ? Exercice hautement périlleux, comme on peut s'en assurer, ici en classe de sixième.


Si une expression très actuelle sauve ce cube de la platitude absolue,





celle-ci,




matière et style dépouillés, laisse cependant planer une relative ambiguïté sur peut-être quelque épaisseur.

Mais pour cet élève, plus d’espoir : cube et cône aplatis d’un seul coup.





Et alors, justement, les cônes ?

À part celui qui plus haut subit le même sort que son infortuné voisin, revoici notre beau parleur :




Un dessin valant mieux qu’une phrase, en voici un,

semblant plus tenir de la crème glacée que de quelque « solide » rarement proposé en situation d’équilibre aussi précaire. Mais pourquoi pas ?

Certains font des rapprochements bienvenus,







d’autres sont désolés de n’en point trouver.





Question posée, en cinquième et en désespoir de définition, à partir de deux dessins, rectangle, et parallélépipède rectangle. « Mais enfin, tu ne vois pas de différence entre les deux ? » « Oui. » « Ah, tout de même ! Et laquelle ? » « Le rectangle, il a pas de pointillés. »