Promenade au pays des nombres
C'est toujours un plaisir, à Tangente, de retrouver les nombres, fidèles compagnons de route du mathématicien.
On les retrouve en effet partout : ils sont à la base de nos systèmes de numération, on s'interroge sur la répartition des nombres premiers, on s'émerveille devant leurs propriétés arithmétiques, comme avec le théorème des restes chinois...
On les retrouve en effet partout : ils sont à la base de nos systèmes de numération, on s'interroge sur la répartition des nombres premiers, on s'émerveille devant leurs propriétés arithmétiques, comme avec le théorème des restes chinois...
LES ARTICLES
Le théorème des restes chinois
Hervé Lehning
Le théorème des restes chinois doit son nom à l'intérêt des mathématiciens chinois de l'Antiquité pour les problèmes de rangement qu'il traduit. Au départ source d'énigmes, il a depuis trouvé des applications plus concrètes, en particulier en cryptographie.
Pourquoi pas une base 12 ?
Jérôme Gavin et Alain Schärlig
Si vous parlez d'histoire du calcul autour de vous, et quel que soit le sujet précis que vous traitez, vous pouvez vous attendre à ce qu'à la fin on vous pose cette question : pourquoi notre numération est-elle à base 10, alors qu'une base 12 nous serait bien plus pratique ?
Paul Erdős et la vision probabiliste de l'arithmétique
Édouard Thomas
Avec le développement de la théorie des probabilités au début du XXe siècle, un nouveau champ d'investigation s'offre à l'arithmétique : étudier les entiers d'un point de vue statistique. Paul Erdős est l'un des premiers mathématiciens à saisir la portée de cette nouvelle approche.
En bref : Application des restes chinois
Hervé Lehning et Bertrand HauchecorneLe théorème des restes chinois trouve, entre autres, des applications en cryptographie
En bref : Les mystères de l'os d'Ishango
Philippe BoulangerLe mystérieux os d'Ishango n'a pas encore livré tous ses secrets